Voici une première partie sur les dangers de la Guyane, je vous partage un article trouvé sur la site de l’ARS qui est très intéressant et très bien fait, je posterai dès que possible plus d’informations concernant d’autres désagréments comme l’insécurité par exemple et je complèterai cet article avec des photos…

Les risques spécifiques1

Climat: humidité, chaleur, déshydratation

Le climat guyanais se traduit par un fort taux d’humidité et des températures élevées. 

  • Ces conditions favorisent la déshydratation. Une sensation de soif, la bouche et une peau sèche gardant le pli et des urines en faible quantité sont des symptômes qui doivent vous alerter.

Attention aux enfants qui n’ont pas tendance à réclamer à boire mais qui se déshydratent rapidement.

  • L’humidité peut entraîner un retard de cicatrisation des plaies et favorise les infections. Toute plaie, même minime, doit être désinfectée et protégée. Vérifiez régulièrement qu’elle ne s’infecte pas.
  • La bourbouille est fréquente chez les enfants en zone tropicale. Elle se manifeste sur la peau par des petits boutons de chaleur qui disparaissent spontanément mais provoquent des démangeaisons. Attention aux lésions de grattage. 
  • L’indice UV est très important en Guyane. Les coups de soleil et de chaleur arrivent vite.

Le meilleur moyen de se protéger du soleil et de la chaleur est de limiter son exposition, particulièrement entre 12h et 16h.

Même par temps peu lumineux ou brumeux, protégez-vous efficacement. Utilisez une protection solaire SpF50. Renouvelez l’application toutes les 2 heures et après chaque baignade.

En plus de la protection solaire, vous pouvez vous protéger en portant des vêtements de couleur claire, un chapeau à bord large et des lunettes de soleil.

Hydratez-vous régulièrement et en quantité suffisante. 

L’air

  • Des épisodes de « brumes de sable » en provenance du Sahara se produisent parfois en Guyane, pouvant présenter un risque pour les personnes souffrant de pathologies respiratoires.

La qualité de l’air en Guyane est consultable sur le site ATMO Guyane – Observatoire de la qualité de l’air en Guyane (atmo-guyane.org).

  • Des pathologies respiratoires ou la fièvre Q, liées à des virus ou bactéries retrouvés en suspension dans l’air, peuvent représenter un risque pour la santé.

Si vous habitez en bordure de forêt, que vous prévoyez de jardiner ou que vous êtes susceptible de soulever de la poussière lors d’un grand ménage, privilégiez le port d’un masque et l’aération de votre lieu de vie, pour éviter de respirer des poussières véhiculant des pathogènes.

Les eaux

Un des risques liés à l’eau est la contamination par La leptospirose | Agence régionale de santé Guyane (sante.fr).

  • Eau de consommation

L’accès à l’eau potable est bon en Guyane.

Si vous vous rendez dans la forêt ou dans des communes reculées de l’intérieur du pays, il est tout de même conseillé de vous munir de bouteilles d’eau minérale ou de moyens de rendre l’eau potable.

La qualité de l’eau du robinet selon les communes de Guyane est consultable sur : Contrôle sanitaire des EDCH (sante.gouv.fr).

Comment rendre une eau potable ?

Si vous avez des doutes sur la potabilité de l’eau que vous vous apprêtez à utiliser, différentes techniques existent pour la rendre potable, parmi lesquelles l’ébullition, la purification chimique à l’aide de pastilles de purification, la filtration ou encore la stérilisation par les rayons UVs. 

Attention, toutes les techniques ne permettent pas d’éliminer la potentielle présence de métaux lourds, et la congélation ne permet pas de rendre une eau potable.

  • Eau de baignade

Il est vivement conseillé de respecter les interdictions et les zones de baignade définies par les autorités, disponibles sur le site du Ministère chargé de la santé – Qualité des eaux de baignade (sante.gouv.fr).

Des vagues potentiellement violentes peuvent déferler sur les plages. 

Quelqu’un est victime d’hydrocution ou de noyade, que faire ?

Sortez la victime de l’eau, prévenez les urgences, pratiquez les gestes de premiers secours et réchauffez la victime.

La faune

Les représentations sur la faune guyanaise véhiculent souvent des craintes. Rassurez-vous ! Les risques liés aux animaux sont faibles, et vos chances de tomber nez à nez avec un jaguar ou un serpent venimeux au détour d’un chemin sont faibles.

Comme partout, les animaux vivent cachés dans leur environnement et les rares attaques sont souvent provoquées par des comportements agressifs de la part des hommes.

Conseils généraux :

  • Ne dérangez pas la faune !
  • En balade, restez sur les chemins tracés, évitez les fourrées et hautes herbes. N’hésitez pas à utiliser un bâton de marche. Privilégiez l’usage de chaussures fermées et montantes ou de bottes, ainsi que d’un chapeau à bord large. 
  • A la plage, évitez de vous assoir directement sur le sable et de vous baigner à la nuit tombante. Privilégiez le port de chaussures de baignade.
  • En carbet, assurez-vous que votre espace de vie est exempt d’animaux potentiellement gênants. Vérifiez votre couchage, vêtements, chaussures et affaires.  Évitez de marcher pieds nus sur le plancher et d’y laisser vos affaires.
  • Je croise un animal, comment réagir ?

Si vous croisez un animal, vous avez de la chance ! Observez-le à distance sans le déranger. Même s’il vous parait inoffensif et attendrissant, ne le touchez pas, ne lui donnez pas à manger et ne tentez pas de le déranger.

1) Les mammifères

En Guyane, un des risques principaux liés aux mammifères est celui d’une exposition de contamination par le virus de la rage, maladie grave pouvant être transmise via une griffure, morsure, ou léchage sur plaie par un mammifère carnivore (chien, chat, singe, chauve-souris…).

Il est conseillé de se laver les mains à l’eau et au savon, ou d’utiliser une solution hydroalcoolique après toute manipulation d’un animal, même domestique.

Je suis griffé, mordu ou léché sur une plaie par un mammifère carnivore, que faire ?

Lavez abondamment la plaie à l’eau et au savon pendant 15 minutes puis appliquez un antiseptique.

Contactez rapidement un médecin qui vous indiquera, en fonction de la confirmation d’un risque de contamination, si des précautions additionnelles sont à prendre. Même pour un animal connu et vacciné, un conseil anti-rabique peut être nécessaire.

D’autres mammifères tels que les paresseux n’ont pas la réputation d’être dangereux mais sont souvent infestés de parasites tels que des puces ou tiques. Il convient d’éviter le contact.

2) Les insectes et parasites

En Guyane, des insectes tels que les moustiques ou phlébotomes peuvent être vecteurs de maladies vectorielles potentiellement graves, comme le paludisme, la dengue, la fièvre jaune, le chikungunya, le zika, ou encore la leishmaniose.

Cependant tous les moustiques ne sont pas vecteurs de pathologies graves !

A. Se protéger des moustiques, parasites et autres insectes vecteurs:

La protection contre ces maladies passe par des conseils simples de lutte contre les moustiques et autres insectes vecteurs :

  • Privilégiez le port de vêtements couvrants (bras et jambes), amples, légers, de couleur claire, et évitez de vous parfumer avec des senteurs florales qui pourraient attirer les insectes.
  • Appliquez un produit répulsif cutané à base de DEET sur les parties découvertes du corps, y compris le visage, en évitant le contact avec les muqueuses. L’application est à renouveler au bout de 2 à 5 heures, tout en respectant le nombre maximal d’applications journalières recommandé, en fonction de la transpiration, de l’humidité ambiante, des douches et baignades. Demandez conseil à votre médecin ou pharmacien pour l’usage de répulsif chez les enfants et les femmes enceintes. N’appliquez pas de répulsif pour animaux.

Point soleil et moustiques : Utilisez une protection solaire adaptée, attendez 20 minutes puis appliquez un répulsif cutané.

  • Protéger son lieu de vie :
    • En intérieur, si besoin :
      • Installez des moustiquaires aux lits, berceaux, fenêtres et portes
      • Utilisez des insecticides en bombes ou en diffuseurs électriques et éventuellement des raquettes électriques
      • La climatisation et la ventilation réduisent le risque de piqures
  • En extérieur, si besoin :
    • Faites bruler des tortillons anti-moustiques
    • Si vous dormez en hamac, recouvrez-le d’une moustiquaire. Vous pouvez allumer sous celui-ci un tortillon anti-moustique.
    • Supprimez les lieux possibles de ponte des moustiques (gites larvaires, points d’eau) : recouvrez fûts et citernes, videz les soucoupes, vases, seaux, vérifiez le bon écoulement des gouttières, supprimez les détritus qui peuvent servir de réservoir, entretenez votre piscine.
  • Mise en garde

Certaines mesures n’ont pas fait la preuve de leur efficacité dans la protection contre les insectes, en particulier les appareils à ultrasons, les rubans ou papiers autocollants gluants ou encore les bracelets anti-insectes.

L’OMS ne recommande plus l’usage de vêtements imprégnés par des pyréthrinoïdes dans la population générale, en raison du risque toxique pour la santé.

Toute personne, contaminée ou non doit se protéger contre les piqûres de moustiques. Il ne faut pas négliger la protection d’une personne infectée par une maladie vectorielle. Il faut éviter que des moustiques ne se contaminent en la piquant, puis propagent la pathologie à son entourage.

L’utilisation d’une pompe Aspivenin n’est pas recommandée pour les piqûres de moustiques.

B. Les maladies à transmission vectorielle

En zone tropicale, un épisode de fièvre n’est pas à négliger et doit faire évoquer une maladie vectorielle. Il convient de consulter rapidement un médecin.

Une vigilance toute particulière est à porter aux femmes enceintes.

Le paludisme (malaria en anglais) est une maladie grave, potentiellement mortelle.

En Guyane, bien qu’on observe une importante diminution de la maladie depuis les dernières décennies, il peut exister un risque de transmission dans certaines zones.

Les premiers symptômes apparaissent 8 jours à 4 semaines après la piqûre de moustique et se traduisent en général par de la fièvre, des maux de tête, frissons, sueurs, courbatures, un affaiblissement, des nausées et vomissements.

La dengue, est généralement bénigne et asymptomatique. On peut parfois observer des symptômes 5 à 7 jours après la piqûre, comme une fièvre intense, des migraines, douleurs musculaires et éruptions cutanées.

La prise d’Aspirine ou d’anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) est à proscrire en cas de suspicion de dengue.

(Je vous recommande de consulter également l’article « Nouveaux Arrivants : conseils sanitaires » qui vous apportera les précisions sur la prévention et les vaccinations)

  • Leishmaniose :

La leishmaniose est transmise par des insectes vecteurs, les phlébotomes qui ressemblent à des petites mouches.

La majorité des contaminations se produisent en forêt, après le coucher du soleil.

La prévention passe par les conseils généraux de protection contre les insectes vecteurs.

  • Maladie de Chagas

La Maladie de Chagas peut être transmise par des insectes vecteurs, les triatomes.

D’autres insectes pouvant être à l’origine d’irritations

C. Guêpe, abeille, frelon – Mouche à feu :

En Guyane, les guêpes sont communément appelées mouches. Comme dans l’hexagone, leurs piqûres sont assez fréquentes.

Une espèce requiert une particulière prudence en Guyane: la mouche à feu. Elle est agressive et sa piqûre est très douloureuse.

Si vous croisez un nid, restez à l’écart et éloignez-vous rapidement en restant le plus discret possible. Si vous subissez une attaque, prenez la fuite mais ne vous réfugiez pas dans l’eau.

A l’exception des mouches à feu, si vous restez à distance d’un nid sans montrer d’agressivité, vos chances de vous faire attaquer sont moindres.

Je suis piqué, que faire ?

Le risque principal pour ces espèces est la réaction allergique sévère. En cas de piqûre à la bouche ou à la gorge, de piqûres multiples ou de réaction allergique, contactez rapidement le SAMU.

Si vous vous faites piquer par une abeille, retirez le dard avec l’ongle ou à l’aide d’une carte de crédit.

En cas de piqure à la main, enlevez vos bijoux pour ne pas gêner la circulation du sang si un gonflement se développe. Si c’est à la gorge ou dans la bouche, sucez un glaçon (ameli)

Lavez à l’eau et au savon puis désinfectez.

Le venin de guêpe étant sensible à la chaleur, vous pouvez appliquer une source chaude à proximité ou plonger le membre dans une bassine d’eau bien chaude pendant 30 minutes en prenant soin de ne pas vous brûler. 

D. Papillon cendre : La papillonite | Agence régionale de santé Guyane (sante.fr)

La femelle de ce petit papillon de nuit disperse de minuscules fléchettes urticantes responsables de la papillonite, caractérisée par une réaction urticaire sous forme de petits boutons et démangeaisons. Rassurez-vous, cette nuisance représente une gêne mais reste sans risque majeur pour la santé, à moins de faire une réaction allergique sévère.

E. Fourmis :

Les espèces retrouvées en Guyane sont potentiellement agressives et leur morsure ou piqûre peuvent être douloureuses.

Elles sont sans danger pour la santé, sauf en cas d’allergie grave.  

F. D’autres insectes peuvent être responsables d’affections quelque peu désagréables, comme le ver macaque provoquant une lésion furonculeuse douloureuse, et les chenilles qui peuvent entraîner des réactions allergiques violentes.

3) Les parasites

  • Des parasites tels que larva migrans (larbish), la puce-chique (puce de sable) ou le pou d’agouti (proche des aoutats), sont retrouvés dans le sable et les sols humides. Il convient d’éviter le contact direct entre le sol et la peau.
  • Tique : En retour de balade et le lendemain, examinez minutieusement votre corps en insistant sur les plis du corps (aine, aisselles, nombril, plis des coudes et genoux, derrière les oreilles, organes génitaux, conduit auditif, cou, cuir chevelu).

J’ai une tique, que faire ?

Enlevez rapidement la tique à l’aide d’un tire-tique (disponible en pharmacie), en prenant soin de bien retirer la tête, puis désinfectez.

Si dans les jours suivants le lieu de morsure change d’aspect, consultez un médecin.

A ne pas faire : N’appliquez pas de corps pétrolé ou d’huile sur la tique.

4) Espèces venimeuses

La gravité d’une envenimation dépend de nombreux facteurs, comme la quantité de venin injecté.

Mesures générales de prise en charge:

  • En cas de morsure ou de piqûre (serpent, araignée, scorpion, scolopendre, raie d’eau douce), il convient de rester calme et de ne pas céder à la panique. Si possible, prenez l’animal en photo.
  • Enlevez ce qui peut serrer la zone mordue ou piquée (bijoux, bague, montre, vêtements, chaussures) et immobilisez le membre concerné.
  • Désinfectez la plaie.
  • Pour les piqûres de scorpions ou raies d’eau douce, et pour les morsures de scolopendres ou d’araignées, vous pouvez appliquer une poche de froid pour limiter la sensation de douleur.
  • Il est déconseillé de faire un garrot, de comprimer, faire un bandage ou d’inciser, faire saigner ou aspirer la plaie. 
  • Évitez l’Aspirine et la consommation d’excitants tels que l’alcool, le café ou le thé.

A. Serpents

La Guyane abrite une centaine d’espèces de serpents, dont la grande majorité n’est pas venimeuse.  Il n’est pas rare d’en croiser, mais les morsures sont rares. En général, un serpent dérangé s’éloigne.

Les rares envenimations recensées en Guyane sont majoritairement causées par le Fer de lance. On peut le retrouver de nuit en forêt et en zones péri-urbaines. Il est agressif et peut attaquer l’homme.

Un serpent m’a mordu, que faire ?

Une morsure de serpent ne signifie pas systématiquement une envenimation !

Il convient d’appliquer les mesures générales de prise en charge.

Si vous avez du réseau, contactez le SAMU et mettez-vous au repos en attendant leurs conseils de prise en charge. Sinon, déplacez-vous en marchant calmement jusqu’à pouvoir contacter le SAMU.

B. Scorpions

Les piqûres de scorpions sont fréquentes en Guyane mais souvent sans danger pour les adultes. La seule espèce à craindre est le Tityus obscurus, caractérisée par ses longues pinces très fines. Il faut retenir qu’un scorpion à pinces fines = DANGER.

Vérifiez minutieusement sacs de couchage, vêtements et chaussures avant utilisation, qui sont des lieux privilégiés par les scorpions.

Un scorpion m’a piqué, que faire ?

Il convient d’appliquer les mesures générales de prise en charge.

Si la victime est un enfant, il est vital de contacter le SAMU le plus rapidement possible, peu importe les symptômes.

Chez un adulte, une sensation de douleur et une légère anesthésie au lieu de piqûre sont normales.

Si vous ressentez d’autres symptômes, contactez le SAMU.

C. Scolopendres

Les morsures de scolopendres sont assez rares en Guyane, mais douloureuses, avec une sensation de brûlure pouvant durer plusieurs heures. Une attention particulière doit être portée aux risques de réactions allergiques.

Les sacs de couchage, draps, vêtements, chaussures et milieux humides sont des lieux privilégiés par les scolopendres. Il est recommandé d’inspecter rigoureusement vos affaires.

D. Raies d’eau douce

Peu visibles et se camouflant dans les fonds sablonneux, les raies d’eau douce peuvent être rencontrées notamment dans les criques. Leur queue est armée d’un aiguillon venimeux.

Une raie d’eau douce m’a piqué, que faire ?

Il convient d’appliquer les mesures générales de prise en charge.

Le venin des raies d’eau douce est sensible à la chaleur. Vous pouvez nettoyer la piqûre puis plonger le membre dans de l’eau bien chaude pendant au moins 30 minutes ou approcher une source de chaleur en prenant soin de ne pas vous brûler.

E. Araignées

Beaucoup de craintes et de légendes à propos des araignées leur valent une réputation exagérée. Si certaines espèces peuvent présenter un risque potentiel pour l’homme, les accidents par morsure sont rares en Guyane et d’une gravité mineure.

La mygale la plus rencontrée est la Matoutou, reconnaissable par son corps noir et le bout de ses pattes orange. Quasi-domestique et dépourvue d’agressivité, elle est inoffensive pour l’homme à moins d’être embêtée.

Certaines espèces d’araignées peuvent représenter un danger, comme l’araignée banane.

Une araignée m’a mordu, que faire ?

Une morsure d’araignée ne signifie pas systématiquement une envenimation !

Il convient d’appliquer les mesures générales de prise en charge.

Si la douleur persiste, contactez le SAMU.

F. Grenouilles et dendrobates

On peut croiser en forêt des espèces de dendrobates produisant via leur peau une substance toxique. N’attaquant pas les hommes, il convient simplement de ne pas les toucher.

La flore

En Guyane, quelques espèces peuvent provoquer des désagréments, comme le zouti lance ou le mancenillier.

Évitez de toucher, sentir ou consommer les plantes, fleurs, fruits ou graines inconnus même si ceux-ci sont consommés par les animaux, et restez vigilants avec les enfants.

Attention aux chutes de noix de coco sur les plages! Évitez de poser votre serviette ou votre hamac à l’ombre d’un cocotier. 

Notes et références

  1. https://www.guyane.ars.sante.fr/nouveaux-arrivants-conseils-sanitaires?parent=14965
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